• WEBSITE MOZERMILK - NO WOW 33


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  • Mozermilk are French ambient groovers who's latest release TWISTED TURNS introduces a series of random obscure monologues set to laid back beats and hypnotic bass. The tracks are short and seem to merge into each other, this creates the effect of a neverending track which is never less than mesmerising and at times baffling.
    It's fine fodder from an excellent band.
    If you have the inclination step back in time and dig out Earthly Ecstacy you will not be disappointed.
    Finally a big thank you from me for sending me your music. I am honoured and apologise for the delay in writing this post.
    Much love from Manchetser England

    MAGIC ONION MUSIC  23/02/2019

     


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    Mozermilk is an electronic duo from Toulouse, France that makes pretty excellent minimalistic experimental music.

     With simple guitar riffs, subtle drumming and glitchy beats the band creates beautiful compositions that are perfectly suitable for Laguia’s monotone vocals.

     Laguia tells beautiful open-ended stories focusing on little details of her surroundings that can only be noticed by a very observant person. She talks about the feelings these details provoke and she leaves you wondering how come you’ve never noticed them.Mozermilk’s music is delicate and intriguing. It pulls you in with a great power and leaves you yearning for more.

     

    *********************************************http://www.iamnotamusician.com - février 2014

     

     Doit-on se fier à la pochette ? A-t-on déjà entendu quelque chose de ce genre ? Mais le genre est-il vraiment définissable ? Quatre ans après la sortie du très doux « Sur le toit », le groupe du  sud-ouest opère un changement radical, un virage à 180 degrés offrant une composition sombre et expérimentale. D’entrée de jeu, on est happé par les scratches old school et la voix tout en mystère, aux effets hypnotiques de Laguia (également à la basse), la guitare lancinante de Keish (aussi aux machines) jouant avec l’auditeur. Des tonalités plus industrielles sur un album qui rappelle l’odeur des vielles salles de concerts moites et humides, les affiches tramées des années 80 collées sur des murs en briques… Mélodies entêtantes et suintantes avec « Bubbling water » et « Magnetic instinct » que l’on a toutes les raisons d’écouter dans un vieux fauteuil en cuir en sirotant un cocktail un peu barré. Mozermilk, un univers à part ? Experimental post-punk oblige !mozermilk.ek.la

     

    *********************************************Longueur d'ondes - juin 2014

     

    Venu des environs de Toulouse, à l'écoute de son album le parti pris expérimental est évident, d'abord au niveau de la formule choisie (un duo avec une chanteuse/bassiste et un guitariste/homme machines) mais surtout en ce qui concerne les compositions anglophones qui privilégient les errances ponctuées de soubressauts soniques au détriment de la recherche mélodique, d'ou une dimension post rock destructuré.

     

    ********************************************* ROCK N FOLK septembre 2014

     

    Pour être tout à fait honnête, quand on a vu les termes experimental post punk dans la description du groupe, on a failli zapper. C’est l’âge ça, on prend peur au moindre petit coup de vent. Et puis la curiosité a pris le dessus. Un nom de groupe original, un visuel qui retient l’œil et surtout la question qui empêche de dormir la nuit : à quoi peut donc ressembler de l’experimental post punk ? Oui, bon, d’accord, la question qui empêche de profiter de sa micro-sieste puisqu’on a très rapidement cliqué sur le lien. Et, aussi étonnant que ça puisse paraître, on a tout aussi rapidement dit oui pour le disque. C’est que Mozermilk sait mettre à l’aise dès la première écoute à coups de petits scratchs, de guitares lancinantes et surtout d’une voix mystérieuse et intrigante. Hypnotisante. Hypnotisante … hypnotisante …De quoi parlait-on ? Ah oui, d’experimental post punk. Alors post punk, on ne sait pas trop, mais experimental, oui, sans aucun doute. Or ce n’est pas le tout de se faire hypnotiser à la première écoute, encore faut-il accrocher au disque complet, sur la durée. Il y avait de quoi être inquiet. Et puis non, ce duo chant-basse d’un côté et guitare-machine de l’autre fonctionne parfaitement, laissant suffisamment d’espace dans l’étrangeté de sa musique pour que l’auditeur se pose en douceur, s’acclimate et surtout se laisse envoûter par la voix de Laguia. Et pendant ce temps Keish, triture ses guitares. C’est amusant, on ne les connait pas, on n’a jamais vu ce groupe (du sud-ouest) mais une image se forme, plutôt distincte. On les imagine très bien sur scène chacun dans leur coin, imperturbables. Et ça fonctionne. Oui ça fonctionne ... fonctionne ... fonctionne …Où en était-on ? Ah oui, l’experimental post hypnotisme. C’est à se demander si on va réussir à aller au bout de cette chronique. Des films de couleur passent dans notre champ de vision, des caméras de surveillance plus ou moins discrètes s’entortillent (« you’re being watched … you’re being watched … »), des voix vont et viennent. On nous parle. Nous parle ... parle … parle …

     

    ********************************************* LE CARGO webzine mai 2014

     

      Made in sud ouest et proche de Toulouse, le duo Mozermilk produit un son bien curieux.

     Curiosité oblige et première impression attractive. 

     Avec des samples un peu venus de nul part, des boucles minimales et une atmosphère noise, la voix de Laguia (et à la basse) vient se frotter à la guitare de Keish par des incursions étranges et susurrées. Le tout orchestré aux machines voilà un joli mélange qui opère et captive. Inspirés de rencontres, de voyages, leur musique se remplit d’images et histoires traduites dans leur langage musical, une formation qui ne débute pas sans matière bien remplie à partager.

     

    ********************************************* RADIO GRESIVAUDAN mai 2014

     

    N’essayez pas de mettre une étiquette trop limitative sur ce duo venu des environs de Toulouse, elle ne tiendra pas longtemps tant la carapace qu’il s’est créé est non seulement rugueuse mais aussi inviolable. Autoproclamé expérimental post punk, le style affiché par Mozermilk est à la fois large et formidablement ouvert et c’est en mettant l’accent sur le côté le plus expérimental et le plus minimaliste de leur musique que Laguia au chant et à la basse et Keish aux guitares et aux machines avancent et nous dévoilent de nouveaux personnages, de nouveaux lieux, de nouvelles histoires … La voix fait instantanément penser aux sirènes et à leur pouvoir envoutant, les mélodies épurées se chargent rapidement d’en remettre une couche et les guitares torturés avec intelligence installent par dessus une ambiance paradoxalement étrange, intrigante et séduisante. Autant dire que pour pénétrer durablement au cœur de cet « Earthly Ecstasy », il faut s’armer non seulement de patience

    mais aussi d’un sacré sens du second degré, et même plus

     

    ********************************************* ZICAZINE mai 2014

     

    MOZERMILK coup de coeur de la médiathèque départementale du Gers.

    Mozermilk "Earthly ecstasy"

    Qui aurait pensé en écoutant ce rock expérimental post punk que les membres du groupe Mozermilk sont français et Ariégeois de surcroît !

     

    Si vous n'êtes pas séduit à la première écoute, tendez l'oreille et laissez-vous emporté par l'univers musical de Mozermilk

    qui nous livre ici un duo chant-basse mystérieux d'un côté et guitare-machine lancinante de l'autre. Un groupe intéressant à suivre...

     


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  • MOZERMILK dans ROCK N FOLK septembre 2014

    Retrouvez MOZERMILK dans "qualité France" sur le Rock n Folk de septembre 2014


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  • Doit-on se fier à la pochette ? A-t-on déjà entendu quelque chose de ce genre ? Mais le genre est-il vraiment définissable ? Quatre ans après la sortie du très doux « Sur le toit », le groupe du  sud-ouest opère un changement radical, un virage à 180 degrés offrant une composition sombre et expérimentale. D’entrée de jeu, on est happé par les scratches old school et la voix tout en mystère, aux effets hypnotiques de Laguia (également à la basse), la guitare lancinante de Keish (aussi aux machines) jouant avec l’auditeur. Des tonalités plus industrielles sur un album qui rappelle l’odeur des vielles salles de concerts moites et humides, les affiches tramées des années 80 collées sur des murs en briques… Mélodies entêtantes et suintantes avec « Bubbling water » et « Magnetic instinct » que l’on a toutes les raisons d’écouter dans un vieux fauteuil en cuir en sirotant un cocktail un peu barré. Mozermilk, un univers à part ? Experimental post-punk oblige !mozermilk.ek.la

     

    http://www.longueurdondes.com/2014/06/09/mozermilk-2/


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  • Chronique album MOZERMILK  " Earthly Ecstasy" sur le Cargo webzine 

    http://lecargo.org/spip/mozermilk/earthly-ecstasy/article8559.html 

    Pour être tout à fait honnête, quand on a vu les termesexperimental post punk dans la description du groupe, on a failli zapper. C’est l’âge ça, on prend peur au moindre petit coup de vent. Et puis la curiosité a pris le dessus. Un nom de groupe original, un visuel qui retient l’œil et surtout la question qui empêche de dormir la nuit : à quoi peut donc ressembler de l’experimental post punk ? Oui, bon, d’accord, la question qui empêche de profiter de sa micro-sieste puisqu’on a très rapidement cliqué sur le lien. Et, aussi étonnant que ça puisse paraître, on a tout aussi rapidement dit oui pour le disque. C’est que Mozermilk sait mettre à l’aise dès la première écoute à coups de petits scratchs, de guitares lancinantes et surtout d’une voix mystérieuse et intrigante. Hypnotisante. Hypnotisante … hypnotisante …

    espace

    De quoi parlait-on ? Ah oui, d’experimental post punk. Alors post punk, on ne sait pas trop, mais experimental, oui, sans aucun doute. Or ce n’est pas le tout de se faire hypnotiser à la première écoute, encore faut-il accrocher au disque complet, sur la durée. Il y avait de quoi être inquiet. Et puis non, ce duo chant-basse d’un côté et guitare-machine de l’autre fonctionne parfaitement, laissant suffisamment d’espace dans l’étrangeté de sa musique pour que l’auditeur se pose en douceur, s’acclimate et surtout se laisse envoûter par la voix de Laguia. Et pendant ce temps Keish, triture ses guitares. C’est amusant, on ne les connait pas, on n’a jamais vu ce groupe (du sud-ouest) mais une image se forme, plutôt distincte. On les imagine très bien sur scène chacun dans leur coin, imperturbables. Et ça fonctionne. Oui ça fonctionne ... fonctionne ... fonctionne …

    vision

    Où en était-on ? Ah oui, l’experimental post hypnotisme. C’est à se demander si on va réussir à aller au bout de cette chronique. Des films de couleur passent dans notre champ de vision, des caméras de surveillance plus ou moins discrètes s’entortillent (« you’re being watched … you’re being watched … »), des voix vont et viennent. On nous parle. Nous parle ... parle … parle …

     (MozermilkEarthly ecstasy, sortie le 5 mai 2014)

     


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